Hier soir était projeté en avant-première la projection du film La PROMESSE de Terry George (Hotel Rwanda) avec Charlotte Le Bon, membre également du jury du Festival du Cinéma Américain de Deauville cette année
Drame sentimental pendant le génocide arménien durant la première Guerre mondiale, ce long métrage a le mérite de faire connaître à un large public ce qu’il s’est passé à cette époque dans l’ancien Empire Ottoman.
Néanmoins les nombreuses imperfections du film peuvent atténuer le message véhiculé : jeu poussif voire niais de certains des acteurs principaux dans la première moitié du film, « posters geants » en guise de décors, scènes mièvres, cascades laissant à désirer…
L’horreur de la réalité prend le pas sur tout cela dans la dernière demie-heure du film. A l’issue de la projection le film a ainsi été ovationné.

Rick (Christian Bale), auteur de comédies résidant sur la Côte Ouest des Etats-Unis, envisage après un tremblement de terre d’opérer des changements dans sa vie.

Il est toujours difficile de résumer un film de Terrence Malick en une phrase, dans la mesure où il repose pour majeure partie dans la poésie et les sensations véhiculées entre autres par la photographie.

Knight of Cups m’a semblé moins abstrait que le précédent, « A la merveille« .

On suit le héros au rythme de ses rencontres, son père, son frère (Wes Bentley découvert dans American Beauty), et les femmes de sa vie incarnées par Cate Blanchett, Nathalie Portman, Freida Pinto…

Un certain nombre de spectateurs a quitté la salle avant la fin, mais Malick a un style que l’on révéré ou déteste.

 

En salles le 25 novembre 2015