Ce récit écrit par le neveu de Jane Austen en 1869 apporte un regard tendre et aimant.

Cependant, il apporte peu de nouvelles informations sur sa vie. Influence de l’époque victorienne, de la foi de l’auteur (il est un ecclésiastique anglican), et fidélité aux valeurs et aux souhaits de sa tante, il reste très discret dans ses révélations.

Personne à l’exception de la mère et la chère sœur de Cassandra ne savaient ce que réalisait Jane Austen. Ses livres sont édités anonymement et sa sœur détruira après sa mort l’essentiel de sa correspondance, laissant pour toujours un mystère autour sa vie.

294 pages – Editions Bartillat – 20€